Road Trip « Merveilles de France » : le bilan (2/3)25 minutes de lecture

Lors de ce road trip, nous avons vu énormément de choses. Et comme souvent lors d’une grande épopée ; nous avons subi quelques mésaventures. Après tout qu’aurait été le Seigneur des Anneaux sans l’arrivée des Nazguls ? Ou celle du Balrog ? Les aventures de Fievel auraient-elles eu la même saveur s’il n’avait jamais perdu sa famille ? Que serait Batman sans le Joker ? Bref, que seraient les bons moments sans quelques petites anicroches ? Alors voici celles qui ont émaillé nos trois semaines en France, nos petits balrogs de l’Eté 2020.

Les flops du Road Trip « Merveilles de France » :

Malgré la beauté du lieu, Giverny n’a pas séduit et demeure le gros point noir du road trip.

Commençons par le moins bon, afin de rapidement s’en débarrasser. Et parce qu’il faut malgré tout le mentionner … Mais rassurez vous, nous avons tout de même passé de très belles vacances et vous verrez que le bilan est en réalité bien plus positif que négatif ! Ceci étant dit, en avant pour la liste de ces petites choses qui nous ont quelque peu chagrinés lors de ce road trip :

• L’antipathie du personnel de certaines structures : Pour moi, je dirais que cela a été le gros point noir de ces vacances en France. Mais fort heureusement, une fois arrivés à Etretat et enfoncés au coeur de la Normandie puis de la Bretagne ; nous n’avons plus eu à en faire les frais. Mais il est vrai que plusieurs fois lors de nos visites aux châteaux de la Loire, je me suis fait la réflexion que l’accueil touristique en France laissait à désirer. Et je dois bien admettre que le sentiment est encore plus fort lorsque l’on est habitués à voyager aux Etats-Unis où nous sommes toujours accueillis avec sollicitude et bienveillance. Durant les premiers jours de notre voyage au contraire, nous avons été confrontés à des personnes malpolies, voire agressives. Et si Monsieur Chaton Chiffon ne s’en formalise pas trop, j’avoue que pour moi cela peut vite gâcher une visite … Alors bien entendu, il s’agit là d’un point de vue personnel (certainement attisé par la comparaison avec l’hospitalité américaine) et peut-être n’aurez vous pas le même. Espérons le en tout cas ! Mais c’est vrai que notre expérience correspond à ce que je subodorais avant notre visite. Car ce n’est pas la première fois que j’entend dire que la France est un peu en deçà en matière d’accueil.
  Toutefois, je tiens à nuancer ces propos en rappelant que de manière générale, nous avons observé ces comportements principalement dans les grandes structures. Au contraire, nous avons des souvenirs fabuleux de l’animateur de notre croisière en Toue sur la Loire, du personnel de notre hôtel à Tours ou encore de l’équipe qui a encadré notre vol en Montgolfière (spoiler alert : c’était magique !) ; tellement agréable et authentique ! Mention spéciale également pour l’adorable dame du restaurant Les Nymphéas à Giverny qui avec sa gentillesse, son sourire et ses petits plats délicieux (la quiche aux légumes était tellement succulente !) nous a fait oublier la visite assez catastrophique de la maison de Monet …
• L’absence de visites guidées au château de Chenonceaux : Je vous en parlais il y a quelques jours sur Instagram, je suis une habituée des visites guidées. À vrai dire, je trouve qu’elles apportent véritablement en plus à mon expérience. Car si y’a bien une chose que je déplore concernant les châteaux français (comparativement aux châteaux que j’ai pu visiter en Angleterre au Danemark par exemple) c’est bien le fait qu’ils soient presque vide. Des circonstances que l’on comprend aisément lorsque l’on connaît les événements de la révolution française ; mais qui donnent malheureusement parfois l’impression de traverser une enfilade de pièces vides et impersonnelles. Et pour peu qu’il y ait un peu trop de monde (comme c’était le cas ce jour là à Chenonceaux), l’on a juste l’impression de faire la queue dans un musée. Sans réellement parvenir à saisir la véritable âme des lieux. Et j’ai déjà du vous le confesser ; je ne suis pas très musées.
  Tout ça pour vous dire que selon moi, les visites guidées ajoutent une véritable plus-value à la découverte de nos beaux châteaux français. Elles ont certes un coût, mais nous n’avons pas regretté de les avoir prises, comme je le détaillerai dans la troisième partie de cet article, car elles étaient (presque) toujours de grande qualité. Et je dois bien admettre avoir été déçue de ne pouvoir en trouver à Chenonceaux. D’autant plus, que connaissant bien le personnage de Catherine de Médicis et les événements qui y sont rattachés ; j’avais hâte d’arpenter ce fameux château Dames. Et du fait de cette absence de regard sur l’âme du château, je n’ai pas réussi à pleinement l’appréhender. L’extérieur est féerique bien entendu et j’aurais adoré faire de la barque sur la Loire en contemplant sa silhouette gracile élancée. Mais plus encore, l’historienne en moi aurait véritablement aimé avoir l’opportunité de découvrir les secrets de ce château de légende ; que l’on me parle d’Henri II, de sa favorite Diane de Poitiers et de Catherine de Médicis. J’aurais aimé apprendre des anecdotes que j’ignorais, pénétrer l’histoire de ce joyau du patrimoine français. Et je suis certaine qu’une visite guidée m’aurait permis de véritablement visiter Chenonceau. Pas simplement de le traverser, mais de lui donner vie. De le lier pleinement à mon imaginaire et de le graver dans ma mémoire. Malheureusement, ce château tant attendu demeure le gros regret du road trip. Cependant, je ne désespère pas pour autant car les visites guidées devaient reprendre en à l’Automne. Et il me tarde d’avoir l’occasion d’en suivre une, tant je suis certaine que cela influera sur mes impressions ! Alors Chenonceau, à charge de revanche.
• La visite guidée du Château de Fougères : Vous allez penser que je me contredis mais en réalité, pas du tout. Si nous avons adoré la plupart de nos visites guidées lors de ce road trip français, je vous déconseille cependant celle du Château de Fougères (Bretagne) si vous avez peu de temps devant vous. C’était notre cas. Et la visite guidée étant incluse dans le prix du billet, nous nous sommes dit que cela nous donnerait un bel aperçu du château et de son histoire. Mais en réalité, compte tenu que le château est doté d’un parcours scénarisé ludique et extrêmement bien réalisé ; nous aurions du choisir cette option qui permettait entre autre de découvrir le conte de la Fée Mélusine … Et comme nous devions reprendre la route, nous avons finalement raté cette partie qui avait l’air si intéressante. Mr Chaton Chiffon et moi-même nous sommes accordés sur le fait que la visite guidée était un peu en dessous de celles que nous avions faites aux Châteaux de la Loire et tout simplement pas forcément adaptée à nos goûts. En réalité, je pense qu’elle portait trop sur les châteaux forts en général et pas assez sur celui-ci en particulier. Par contre, si c’est là votre tout premier château fort ; vous pourriez apprendre plusieurs choses sur l’architecture typique de ces forteresses médiévales. Donc un bémol pour nous, mais peut-être un coup de coeur pour vous ! Tout dépendra de vos centres d’intérêts, des personnes qui composent votre groupe et du temps que vous pouvez consacrer à cette visite. Mais quoique vous choisissiez de faire, ne ratez pas le parcours-spectacle ; à mon sens tellement plus immersif ! Je regrette de n’en avoir vu que quelques bribes et j’espère que nous aurons rapidement l’occasion d’y remédier …

Mon grand regret du road trip : le château de Chenonceau dont je n’ai pas pu véritablement profiter.

• Giverny : Malgré que les jardins de Giverny soient incontestablement l’une des stars d’un road trip en France, c’est probablement là le gros fail de nos trois semaines en bleu-blanc-rouge. En cause, plusieurs choses différentes. Dont certaines sont à nuancer et me laissent penser qu’il faudra que nous y fassions une contre-visite une fois que la situation sanitaire ce sera apaisée. Afin d’expérimenter les jardins autrement et de pleinement en profiter.
  En premier lieu, j’incriminerai donc le choix de délimiter un « tracé » au lieu de laisser les gens aller et venir à leur guise, sachant qu’il s’agit d’un lieu ouvert. Le tracé partait certes d’une bonne intention, mais au vu de l’affluence c’est finalement devenu une longue file d’attente où nous ressemblions à des sardines marseillaises tant nous étions serrés ! Il me semble vous avoir déjà parlé des longues minutes passées au milieu des abeilles, donc je n’y reviendrais pas ici. Ceci dit, je me doute (j’espère …)que ce n’est pas toujours comme ça ! Par contre, j’ai été très étonnée que l’on ne puisse trouver aucune indication sur l’histoire de ce joli domaine que ce soit en dépliant ou sur des plaquettes accrochées à la vue de tous. Je serais curieuse de savoir si ce choix résulte de la pandémie ou si nous sommes simplement déjà supposés connaître l’histoire du lieu en venant ici ? Ce qui n’était malheureusement pas mon cas. Et ce n’était pas beaucoup plus différent en sortant de la bâtisse. Bien entendu, les jardins sont magnifiques, mais je n’ai rien appris de particulier. Et c’est probablement le seul lieu dans ma vie ou j’ai eu la sensation de ne rien expérimenter du tout. En réalité, si je l’avais simplement vu à la télévision ou dans un livre ; cela aurait été du pareil au même. Et vous vous en doutez, cela m’a profondément déçue … Là encore, avis unanime. Mais j’espère que nous aurons l’occasion de redorer cette opinion dans le futur. Du reste, si vous avez visité les Jardins de Giverny cet Eté, j’aimerai beaucoup avoir votre ressenti sur le sujet. Alors n’hésitez pas à me laisser un petit message pour me raconter et me dire si votre expérience a ressemblé à la nôtre ou si nous avons tout simplement été malchanceux ! Pour ma part, j’espère que nous pourrons lui redonner une chance lors d’un road trip normand printanier par exemple.

Saint-Malo ; une ville envoutante. Mais décidément bien agitée !

• Les Grandes Eaux de Versailles : Certes, le spectacle est féérique. C’est du reste la deuxième fois que je m’y rend et la toute première fois, j’avais passé une soirée absolument magique. Malheureusement, cette fois-ci le charme a un peu moins opéré. D’une part parce que j’ai trouvé l’organisation un peu chaotique, notamment du fait de l’absence de plan papier. Et au final, nous avons erré sans savoir où nous allions la plupart du temps. J’aurais bien aimé pouvoir me référer à un document recensant les « highlights » de l’évènement afin de ne pas passer à côté. Plus encore, les jardins étaient noirs de monde. Et comme je le disais plus haut, je trouve que cela nuit nécessairement à l’ambiance lorsque l’on est collés à une foule d’étrangers … Très honnêtement, j’aurais préférer payer ma place plus cher mais profiter d’un lieu à la capacité d’accueil réduite pour réellement pouvoir déambuler dans au coeur des fêtes du Roi Soleil. Moi qui pensait qu’il allait s’agir de l’un des moments les plus mémorables de ce road trip !
• La vie nocturne à Saint-Malo : Nous avons (enfin plutôt j’ai ^^) choisi de dormir à Saint-Malo intramuros durant nos trois jours passés là bas. Et si notre hôtel était tout à fait charmant (et le petit déjeuner délicieux, avec des crêpes fraîches tous les matins), je dois tout de même vous avouer que le Samedi soir (notre première nuit) n’a pas été de tout repos. J’ai en effet été réveillée plusieurs fois par des personnes (probablement assez éméchées) qui rentraient des nombreux bars de la ville aux petites heures. Nos voisins de chambre notamment semblaient particulièrement en forme à 3h30 du matin, à mon grand désarroi. Je profite également de cet encart malouin pour évoquer la question du parking. Pour nous, cela a finalement été moins compliqué que prévu, car nous avons joué de chance les deux derniers jours. Et pour le premier, nous avons pris l’option parking payant à quelques mètres des murs de Saint-Malo. Cher, je ne vous le cacherai pas ; mais sûr et pratique. Cependant, si vous choisissez de dormir à Saint-Malo intramuros ; prenez en compte ce détail et attendez vous à devoir tourner un peu pour trouver une place !
• La canicule : Un obstacle que l’on peut difficilement imputer à qui que ce soit ; mais qui était à prévoir en partant en plein Eté. Ceci dit, nous n’avons pas trop à nous plaindre à ce sujet, puisqu’elle ne nous a rattrapés qu’à la toute fin des vacances. Mais conjuguée au port du masque, elle a tout de même réussi à passablement écourter notre passage à Guérande. Alors permettez moi de lui en vouloir tout de même un peu car la ville avait l’air si jolie ! Mais je suffoquais beaucoup trop et nous nous sommes finalement résignés à regagner la voiture bien plus tôt que prévu. Quitte à devoir repasser par Guérande une autre fois.
• L’alarme incendie du Novotel, Bordeaux Lac : Je finirai cette liste de petites galères sur une touche amusante (du moins avec le recul), celle du réveil impromptu vers 3h00 du matin à cause d’un (ou d’une) fumeur (ou fumeuse) indélicat(e). Nous nous sommes alors retrouvés massés avec tout l’étage à nos portes, hagards, encore en pyjama ou jean enfilé à la va-vite sous la chemise de nuit. De mémoire, je n’ai jamais été aussi bien lookée ! Fort heureusement, aucune photo de cet épisode n’existe et après confirmation qu’aucun incendie ne menaçait l’édifice ; nous sommes tous retournés à nos lits que nous n’avions délaissés qu’avec peine. Je vous avoue qu’épuisée comme je l’étais après la route de Nantes à Bordeaux, j’ai un instant caressé l’idée de griller dans ma chambre plutôt que de me forcer à ouvrir les yeux. Mais il fallait bien sauver Grouny Sac et Monsieur Chaton Chiffon ! En tout cas, pour notre avant dernière nuit de road trip en France ; celle-ci restera mémorable !

Si c’était à refaire :

Les Grandes Eaux Nocturnes de Versailles, victimes de leur succès ?

Si j’avais une Dolorean à disposition et pouvais remonter le temps, je changerai sans doute quelques petites choses au tracé et à l’organisation de ce road trip 2020 :

• En premier lieu, je pense que dans les conditions actuelles ; je laisserai la visite de Giverny pour une autre occasion. Car c’est probablement ce qui nous a le plus déçus durant ces vacances. Et puis cela m’aurait permis de profiter davantage de Rouen, une ville que nous avons tout simplement adorée comme vous le verrez très prochainement ! Mais où nous avons à mon sens manqué d’un peu de temps, puisque nous n’y sommes arrivés qu’en début d’après-midi, suite à la visite des jardins. Autre lieu que nous n’avons visité que trop succinctement, l’abbaye de Fontevraud. Cependant, nous y avons bénéficié d’une excellente visite guidée qui rattrape tout et nous a donné une belle vue d’ensemble de cet édifice à l’Histoire incroyable. Mais il est vrai que j’aurais aimé avoir plus de temps pour explorer l’intégralité de l’abbaye ; absolument tentaculaire. Alors il faudra y retourner !
• En ce qui concerne les deux nuits à Saint-Malo, Monsieur Chaton et moi même ne sommes pas tout à fait d’accord. Lui aurait préféré ne pas loger intramuros ; tant du fait du prix du parking que du bruit en weekend. Moi je serais un peu plus nuancée car même si lors d’un prochain séjour dans la zone je logerai sans doute du côté de Dinan ou Dinard ; je vous recommande de séjourner au moins une fois au coeur de la ville pirate. Evitez peut-être simplement les samedi soirs ! Mais personnellement, j’ai adoré me promener sur les remparts alors que la nuit tombait, me rêvant en Elizabeth Swann d’un jour. Même le réveil en pleine nuit ne peut rivaliser avec ça ! Et malgré le dérangement, ces nuits passées à Saint-Malo restent l’un des points forts de ce road trip.
• J’insisterai davantage pour visiter les marais aux alentours de Guérande. Certes, Monsieur Chaton Chiffon ne voulait pas en entendre parler, à cause des moustiques. Mais lorsque nous y sommes très brièvement passé, j’ai trouvé la vue sublime. Par contre, là où je peux le rejoindre ; c’est que la saison ne s’y prêtait pas vraiment, surtout avec cette chaleur insoutenable ! Mais à toute autre période de l’année c’est à mon avis une visite à ne pas manquer.

Une épée légendaire, rattrapée par la modernité et le tourisme à outrance.

• Je ferai également l’impasse sur les Grandes Eaux de Versailles. Car j’aurai du me douter que visiter Versailles l’année où la plupart des français restent en France n’était probablement pas l’idée du siècle. Et j’aurai certainement davantage profité de notre visite une autre année. Le constat peut également s’appliquer aux châteaux de la Loire, dont certains ont été victimes de leur succès. Mais comme je ne les avais encore jamais parcourus (au contraire de Versailles), je suis tout de même heureuse que nous ayons saisi cette occasion de le faire. Même si les conditions n’étaient pas toujours optimales.
• Enfin, si je n’avais pas été si pressée de partir et si je n’avais pas craint un nouveau confinement pour l’Automne 2020 ; j’aurais bien entendu évité les vacances scolaires. N’étant pas tributaires des écoles, nous préférons habituellement partir en Juin ou en Septembre. Mais en cette année si spéciale, j’ai préféré assuré nos vacances, même si cela voulait dire partir en Juillet. Et braver les foules. Cependant, si j’avais pu faire ce voyage en Septembre ou Octobre ; je pense que nous aurions pu profiter de meilleures conditions pour la visite des châteaux notamment. Ceci dit, hors châteaux de la Loire, nous sommes finalement plutôt tombés sur une bonne période et tout le reste du voyage s’est déroulé sans encombres.
• Un mot également concernant l’épée d’Excalibur, qui nous avons trouvée à Brocéliande. Loin de moi l’idée de vous gâcher la surprise ; mais il faut que je vous avoue que le cadre est quelque peu décevant. Je m’attendais à trouver l’épée légendaire nichée au milieu des bois, dans un cadre féérique. Et nous l’avons d’ailleurs cherché quelques temps avant de nous résoudre à faire route vers le parking pour reprendre le cours du road trip … Près duquel elle se trouvait en réalité ; à deux pas de l’aire de jeux. Je vous raconte pas l’ingéniosité qu’il a fallu pour cadrer la photo et redonner à la fameuse épée son allure mystique ! Par conséquent, si vous avez du temps à consacrer à la forêt de Brocéliande, faites le voyage et profitez d’une photo avec la fameuse épée arthurienne. Mais si (comme nous) vous ne faite le crochet que pour l’Epée, vous pouvez vous l’épargner. Très honnêtement, la mise en scène est mieux faite à Disneyland !
• Autre petit regret, ne pas avoir pris de cours de cuisine bretonne (qui a dit crêpes ?). Mais là encore, le temps nous a manqué. Pour que nous fassions tout ce dont j’avais envie, il aurait fallu des mois de road trip ! Et je m’en vais donc rajouter ça sur ma Bucket List spéciale Bretagne !

Voici donc (peu ou prou) les petits changements que j’aurais apporté ici et là si ce road trip français était à refaire. Comme vous le voyez, rien de fondamental ! J’espère n’avoir rien oublié, mais voici ce qui me revient quelques mois après le retour. Et qui m’a donc le plus marquée.

Et vous ?

Quelles ont été vos petites et grosses galères de vacances ? En tout cas, j’espère que cet article ne n’aura pas mis vos projets d’un road trip français en berne ! Car certes, nous avons parfois joué de malchance. Mais la plupart du temps, nous avons fait de magnifiques découvertes. Et visité quelques uns des plus beaux coins de notre joli pays. Du reste, je ne vous en dis pas plus aujourd’hui puisque je vous donne rendez-vous très prochainement pour découvrir la liste de nos coups de coeurs. Et croyez-moi ; ils sont autrement plus nombreux que les petites déconvenues que nous avons expérimenté sur la route. Cependant, il me semblait important de vous en parler lors de ce bilan, afin que vous ne soyez pas trop surpris si vous vous trouvez confrontés aux mêmes déconvenues que nous. Que vous puissiez bénéficier de notre expérience pour parfaire l’organisation de votre prochain voyage. Et éviter quelques écueils au passage.

En attendant, je vous souhaite une belle fin de journée et vous dis à très bientôt ; pour la fin de ce bilan de notre road trip 2020 !

XoXo Le Chaton Chiffon.